{"id":143,"date":"2012-05-12T17:51:49","date_gmt":"2012-05-12T16:51:49","guid":{"rendered":"http:\/\/hughesrenier.be\/?page_id=143"},"modified":"2020-06-14T12:29:58","modified_gmt":"2020-06-14T11:29:58","slug":"dossier-de-presse","status":"publish","type":"page","link":"http:\/\/hughesrenier.be\/?page_id=143","title":{"rendered":"Dossier de presse"},"content":{"rendered":"
Ce n’est pas une BD. Plut\u00f4t un recueil d’illustrations. Mais quel dessin, tonnerre! Hughes Renier a d\u00e9cid\u00e9ment la plume des tous grands orf\u00e8vres. Il cis\u00e8le trait par trait avec une minutie sid\u00e9rante son univers fantastique, o\u00f9 la nature et l’architecture se disputent l’espace et la vie. Tumultueux et rigoureux \u00e0 la fois, le plaisir de dessiner est \u00e9vident. \u00ab\u00a0Les flutiaux du bord de Seine\u00a0\u00bb forment un bien bel album, agr\u00e9ment\u00e9 d’un texte po\u00e9tique d’Iris qui se faufile entre les planches avec une grande d\u00e9licatesse.<\/em><\/p>\n St\u00e9phane RENARD<\/strong>, \u00ab\u00a0Le Vif, l’Express\u00a0\u00bb 25\/11\/2005<\/p>\n \u2026Un travail de b\u00e9n\u00e9dictin, mais jamais la technique ne voile la po\u00e9sie de l’image. Des d\u00e9tails, tous n\u00e9cessaires, au point qu’enlever la moindre feuille d’arbre d\u00e9s\u00e9quilibrerait l’ensemble. Une planche prend de deux mois \u00e0 deux ans\u2026 Dessins, encre de chine, couleurs. Ombres pour la profondeur et la vie. Partout une explosion de d\u00e9tails, autant d’histoires dans l’histoire\u2026.<\/em><\/p>\n …L’auteur propose ainsi un autre regard, une autre fa\u00e7on de voir, qui laisse au spectateur toute sa libert\u00e9. Ou au contraire le contraint….\u00a0\u00bb<\/em><\/p>\n Anne GILAIN, <\/strong>\u00ab\u00a0Le VLAN\u00a0\u00bb 18\/02\/2004<\/p>\n \u00ab\u00a0<\/em> …<\/em><\/strong> A mille lieues des grands circuits commerciaux, voici un album dont les 700 exemplaires ne tra\u00eeneront pourtant pas longtemps dans les rayons de son \u00e9diteur-libraire (Loup). Peintre, illustrateur, sculpteur et, surtout, po\u00e8te de tous les instants, le trop discret Hughes Renier signe <\/em>Les courants silencieux du r\u00eave<\/span><\/a><\/em><\/strong><\/span>,<\/span> un conte fantastique dont les 18 illustrations ont n\u00e9cessit\u00e9 chacune trois mois de travail. M\u00eame r\u00e9duit au format album, leur trait, d’une incroyable pr\u00e9cision, conserve une force peu banale. Cet enchev\u00eatrement de v\u00e9g\u00e9taux et d’architecture (beaucoup de b\u00e2timents bruxellois) est un r\u00e9gal pour l’\u0153il qui prend le temps de s’arr\u00eater. De la toute grande illustration noir et blanc, que n’aurait pas reni\u00e9e un certain Jules Verne pour ses romans fantastiques…. <\/em>\u00a0\u00bb<\/p>\n St\u00e9phane Renard, r\u00e9dacteur en chef \u00ab\u00a0<\/strong>LE VIF\/L’EXPRESS\u00a0\u00bb 21\/2\/2003<\/p>\n <\/span>\u00ab Nous ne connaissions pas l’existence de Hughes Renier, mais un concours inattendu de circonstances nous l’a fait d\u00e9couvrir, lui et son art, d’une extraordinaire et obs\u00e9dante \u00e9tranget\u00e9\u2026<\/em><\/p>\n Titulaire de diff\u00e9rents cours de dessin et de peinture, auteur de d\u00e9cors de th\u00e9\u00e2tre, il travaille pour lui seul, \u00e0 l’encre de chine ou \u00e0 l’aquarelle, \u00e9laborant un monde futur imaginaire, dans lequel l’harmonie d\u00e9pend de l’\u00e9quilibre entre la nature et l’homme. Il a cr\u00e9\u00e9 ainsi des sculptures-maquettes, donnant vie et volume \u00e0 un monde d’architecture v\u00e9g\u00e9tale.<\/em><\/p>\n Hughes Renier renoue avec la technique narrative, le conte illustr\u00e9…. <\/em>On n’imagine pas la perfection, l’invention, la myst\u00e9rieuse collaboration du v\u00e9g\u00e9tal et de l’intelligence humaine. On se perd \u00e0 r\u00eaver cette aventure<\/span><\/a><\/span>, qui aurait s\u00e9duit Jules Verne, et l’on offre aux amateurs de magnifiques dessins, exceptionnels\u2026. <\/em><\/p>\n Une exposition qui met en \u00e9vidence un tr\u00e8s grand talent de graphiste et une extraordinaire aventure intellectuelle. <\/em> Thomas OWEN <\/strong>(alias St\u00e9pane Ray,) L’ECHO-Culture et Loisirs, 1\/9\/2000<\/strong><\/p>\n <\/p>\n <\/p>\n\n
La Ville r\u00eav\u00e9e d’Hughes RENIER<\/span><\/span><\/h3>\n<\/li>\n<\/ul>\n
<\/a>…. Au plafond, dans sa petite maison pr\u00e8s de la maison communale, des montgolfi\u00e8res \u00e9tranges, un squelette de zeppelin…Maquettes \u00e9tranges, pour dessiner ses planches. Hughes Renier est passionn\u00e9 depuis tout jeune par Jules Verne. Ce n’est sans doute pas un hasard. Pas plus que son go\u00fbt pour le fantastique. Peut-\u00eatre un genre typiquement belge , voire bruxellois, av<\/span>ec Thomas Owen, Jean Ray, Magritte….<\/em><\/p>\n
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Bijou graphique<\/span><\/h3>\n<\/li>\n<\/ul>\n
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\u00ab\u00a0Un Ballon v\u00e9g\u00e9tal.\u00a0\u00bb<\/span><\/h3>\n<\/li>\n<\/ul>\n
\n<\/em>A voir sans tarder !<\/em> \u00bb<\/p>\n